Conseiller communal sortant, Jean-Pierre Graisse, âgé de 55 ans, père de deux grands enfants, est assistant social de formation. De 1988 à 1995, il a travaillé comme coopérant en Bolivie dans le domaine de la formation professionnelle des personnes handicapées. De retour en Belgique, il intègre le parti ECOLO. D’abord comme permanent à Arlon et Bertrix, et depuis douze ans comme attaché au Bureau du Conseil de Fédération d’ECOLO à Namur, parlement interne du parti.
Seul représentant ECOLO au Conseil communal de Bertrix, il a systématiquement déposé deux ou trois interpellations depuis sa désignation, ce qui porte à plus de cent-dix unités le nombre de points déposés à sa seule initiative durant les six années de son mandat, et démontre de sa ténacité et pugnacité.
Ses thèmes de prédilection : la sauvegarde d’un service de transport en commun de qualité en zone rurale, la promotion d’un tourisme vert, le développement des énergies renouvelables.
Ses hobbys : la marche, le vélo, le scrabble, la lecture.
Je suis écolo dans l’âme, protection de la nature,agriculture,respect des animaux…
La chose qui me dérange chez écolo au niveau national ,c’est le problème des etrangers(mon mari est anglais et bien qu’il ai déjà eu droit aux injures…)je ne respecte pas les gens qui les défendent non stop. Je suis née en Ardenne (Alle sur semois) apres mon mariage,j’ai vecu a Waterloo et dans le Hainaut. J’ai vu ce ce que le socialisme donnait. Défense a tout crin des etrangers. Ecolo qui participe à cela,j’ai vu ce que mes enfants devaient encaisser (injures, sous intellect,…) Je voterai pour vous apres vous avoir vu (atelier produits d’entretien) Je crois que vous êtes integre mais nous avons fuit cela en revenant en ardenne. Mon mari et mes enfants seraient pour vous si il n’y avait ce côté étrangers dont nous avons souffert . Mais où je vous rejoins, c’est que dans cette commune ( les bons amis qui peuvent tout se permettre , les décisions a la place des personnes concernées, décisions sans concertation,impression d’être dans une république bananière,. ..) ne me convient pas du tout.
Merci pour votre soutien, bien que mitigé.
J’espère ne pas vous déplaire, mais selon moi les étrangers ne sont pas un problème. Le problème est bien la manière avec laquelle nous les traitons.
J’ai moi-même vécu durant sept années à l’étranger et ai pu apprécier une hospitalité à mille lieux de celle que nous offrons à des personnes en détresse.
Vouloir se barricader, chacun chez soi, par peur de l’autre, est une erreur, et une impossibilité.
Et en matière d’accueil des étrangers, la Belgique et l’Europe sont de bien piètres exemples quand on voit ce que des pays bien plus en difficulté que nous (Liban, etc) font pour ce flot de personnes fuyant guerre et dictature.
Bien à vous.
JPGraisse
Monsieur Graisse, je me permets de réagir quant à la réponse faite à cette dame et au dédain dont vous faite preuve au travers de celle-ci. En effet, Madame D. vous faisant part de son vécu propre, intime et sincère, ainsi que des souffrances endurées dont vous faites fi avec la condescendance qui caractérise la politique aujourd’hui. De fait, vous incarnez avec majesté le déni du réel et le mépris pour les petites gens que vous êtes pourtant sensés protéger. Pouvez-vous comprendre, Monsieur Graisse, que des personnes en Belgique puissent souffrir de l’immigration? Que ces personnes ne se sentent plus chez elles, et qu’elles subissent dans leur quotidien et dans leur chair les conséquences de décennies de politiques migratoires aveugles et nuisibles? Ou pensez-vous simplement, c’est sans doute là l’explication la plus plausible, que Madame D. n’a pas l’agilité intellectuelle de comprendre que l’immigration est une chance et la diversité une richesse? Aussi, l’Europe serait, selon vous, un bien piètre exemple de générosité. Ceci, alors qu’elle a accueilli plus que sa part de la misère du monde (et plus de deux millions de personnes, vaguement réfugiées, ces trois dernières années), alors que tant d’Européens souffrent plus qu’ils ne crient. Et de leur coté, que font la Chine et l’Inde, pays de plus d’un milliard d’habitants? Et la Bolivie, combien de réfugiés a-t-elle accueilli? Vous confondez manifestement, Monsieur Graisse, immigration de peuplement et tourisme humanitaire. L’immigration ne se limite pas à Erasmus Cher Monsieur… Le problème serait donc, selon vus, la manière dont on les traite (inhumainement j’imagine). Puisque le problème étant l’accueil, les citoyens seront donc heureux d’apprendre que vous détenez la solution au communautarisme, à l’islamisme radical et à la création de société parallèle où l’on obéit plus au Coran qu’au Code civil… Ils seront également heureux d’apprendre comment vous diminuerez les émissions de CO2 en accueillant toujours plus de monde.Par votre mépris, votre cécité sélective et la haine de soi que vous manifestez, sachez que vous faites le lit de la vague populiste qui bientôt (lors des élections européennes de 2019), submergera le Vieux continent. Et ce ne sera pas malheureux…
Bien cordialement.
Mesdames, je vous invite à nous rejoindre à Sugny au camp des réfugiés le dimanche 21 octobre pour participer et rencontrer des réfugiers et participer à un déjeuner Oxfam-réfugier. C’est la 2ème année et les 10 bénévoles de Bertrix qui y ont participés en sont revenu ému de voir comment il sont parqués et ils sont rentrés sain et sauve à Bertrix.
Bien à vous
Bonjour Mathilde, et merci pour ce long commentaire. Je ne vais pas en remettre un couche. Je pense que nos points de vue sont difficilement conciliables. A partir du moment où votre analyse part du postulat (ou du constat selon le point de vue) que j’incarne le « mépris des petite gens », je ne vois pas l’intérêt de poursuivre le dialogue. Mon commentaire se base sur mon vécu, mes lectures et différentes analyses de personnes plus aptes que moi de juger de la situation. Je dis les choses comme je le pense, sans langue de bois, au risque parfois de déplaire. C’est sans doute mon tort.
Bonne continuation cependant.
Monsieur Graisse, je vous remercie pour le ton de votre réponse. En effet, il devient rare, lorsqu’on prend ouvertement position contre l’immigration (de masse j’insiste) de ne pas se voir suspecter de nostalgie pour le Troisième Reich et ses ignominies… Toutefois, les citoyens, et d’abord les plus humbles, sont les premiers à subir l’incurie politique et l’aveuglement des politiques en terme d’immigration… Nous aurons un jour à payer très cher le prix de vos cécité, alors que tout ce que vous demandent les petites gens, c’est « de voir ce que vous voyez »… Comme Madame D., je suis ardennais et soucieux de l’écologie. Mais vos positions au sujet des minorités (agissantes) et de votre amour éperdu du multiculturalisme me rebutent à jamais de voter pour vous. Le drame de chaque représentant politique, c’est l’entre-soi. Sortez donc de chez vous, allez donc écouter les gens les plus modestes, sur les chantiers, dans les bistros ou à la sortie des usines… Mais les partis de gauche ont depuis longtemps abandonné les ouvriers pour les étrangers. Pas étonnant que vous soyez si prompts à en accueillir toujours plus. Cette immigration électorale représente pour vous un réservoir de voix intarissable (la population de l’Afrique devant doubler d’ici 2050) avec une natalité supérieure à celle des Européens une fois installés ici. Ainsi, d’ici là, la Chine sera toujours la Chine, l’Inde sera toujours l’Inde, mais l’Europe ne sera plus l’Europe… L’Histoire vous jugera sévèrement…
Je vous souhaite toutefois, Monsieur, un franc succès électoral, tant que vous le pouvez encore et que vous (la classe politique en générale) soyez balayés par la vague populiste qui se gonfle à mesure de votre aveuglement et votre mépris pour ceux qui vous implorent de prendre acte de leur désarroi…
Bien cordialement.
Re-bonjour Mathilde (drôle de prénom pur « UN ARDENNAIS »).
Personnellement je m’engage, je m’expose, je ne me cache pas derrière un pseudo. Vous ne me connaissez pas, n’avez aucun idée de mes engagement ici ou ailleurs, et vous vous permettez de critiquez. Mais à quel titre ?
Vous me faites bien rire avec vos « sortez de chez vous », ou les « votre mépris pour ceux qui vous implorent de prendre acte de leur désarroi ».
Remarquez par ailleurs que vos commentaires, bien qu’insultants, sont publiés…
Mais je propose de conclure ici notre échange.
Comme disait l’autre : hasta siempre !
Monsieur Graisse,
je vous invite à relire mes réponses. A aucun moment je ne me suis montré insultant envers vous. J’ai simplement relevé votre refus d’entendre les souffrances de votre interlocutrice, de manière argumentée. Là encore, voici l’un des nombreux drames de la politique aujourd’hui: des réactions à l’affectif, avec le schéma classique indignation-victimisation-(judiciarisation). Je remarque que de votre coté (pour la classe politique en général), défendre l’indéfendable devient difficile…
Je vous concède qu’il est tout à fait honnête de votre part de publier ces commentaires, et que vous êtes vous même sans doute un honnête homme… Sachez simplement que comme beaucoup, je ne supporte plus ce déni du réel et cette obsession pour l’immigration de masse qui détruit ce continent… Vous disiez votre constat le fruit de vos lectures. Dans ce cas, je vous recommande vivement la lecture du livre de Douglas Murray, « L’étrange suicide de l’Europe »… Sans doute, après une lecture honnête changerez vous (enfin!) d’avis…
Concernant le fait que je me nomme Mathilde et que je suis Ardennais, sachez qu’il est insultant de votre part de me faire ce reproche. En effet, en tant que membre de la communauté LGBT+, je n’ai pas encore définitivement fixé mon orientation de genre. J’espère par là intégrer un jour le bureau politique du parti ECOLO… (Ceci sera ma dernière provocation…)
Je vous souhaite toutefois, et sincèrement, bon succès lors de ces élections…
De même, Hasta Siempre et viva la Revolution CONSERVATRICE!!
Bien cordialement…