28 août 2014
Trois points déposés par Écolo ce jeudi :
- Black out 2014 : quelles mesures pour Bertrix ?
- Demande d’éclaircissement concernant la redevance pour les travaux effectués par les ouvriers communaux pour compte de tiers
- Question relative à l’état d’avancement du dossier introduit au fonds des calamités suite aux intempéries du 26 juillet 2013.
Echos post-conseil
BLACK-OUT. Pour la majorité au Conseil, il semble bien que la perspective du black-out ne soit pas en soi un problème. Que l’ensemble des communes luxembourgeoises soient dans le haut de la liste de celles qui seront délestées, que le porte-parole d’Infrabel affirme ‘Que si tout le monde est dans le noir, les trains ne seront plus le problème prioritaire’ et que dès lors les navetteurs partis le matin ne puissent rejoindre leurs pénates, que des personnes isolées le soient encore plus par ces coupures … ne semble pas les émouvoir. Attendons ce que diront les autorités supérieures, telle est la réponse à mon interpellation. A force d’attendre, on arrive trop tard.
REDEVANCE POUR LES TRAVAUX FOURNIS PAR LES OUVRIERS COMMUNAUX POUR COMPTE DE TIERS. S’il est bien un sujet qui provoque la colère de Mathieu Rossignol quand on l’aborde en Conseil, c’est celui du Baudets’tival. Comme si le sujet était devenu tabou. Après avoir été interpelé sur le fait que des ouvriers communaux auraient, pendant leurs heures de travail, été actifs pour les préparatifs du festival, j’ai trouvé important de faire la clarté sur le sujet. Clarté fut faite, merci Mathieu. Si des ouvriers communaux étaient sur place, c’était en tant que bénévoles, et hors de leur temps de travail. Et que l’on ne fasse pas un procès d’intention à mon égard : je salue bien fort le travail des dizaines de bénévoles pour les multiples activités qui animent Bertrix tout au long de l’été est exceptionnel, de la même manière que les heures consacrées par les membres de toutes les associations sportives, culturelles, sociales, caritatives… C’est un pilier de notre société, une preuve vivante que tout ne se monnaye pas.
FONDS DES CALAMITES. On apprend en séance que la commune, contrairement à ce qui avait été pressenti, ne sera pas admise au bénéfice du fonds des calamités suite à la grêle de juillet 2013.
RÉHABILITATION DES ATELIERS SNCB. Des travaux estimés à 250.000 € coûteront finalement quasi 600.000 €. Projet abandonné pour l’instant. On avait semble-t-il oublié de prendre en compte le coût lié à la toiture en asbeste ? Oubli fatal.
La convocation, les points déposés par Écolo et le PV disponibles ci-dessous.